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«Comme deux sœurs»
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Présentation
Véra et Tsiona aiment à se rappeler leur première rencontre, à quatre ans, dans un jardin d'enfants de Tel-Aviv. Véra a grandi entre un père artiste volage et une mère infirmière rangée. Tsiona a perdu son père quand elle était petite. Après le lycée, Véra, la sensible, l'artiste, ne sait pas ce qu'elle veut faire ; Tsiona, l'effrontée, engagée dans un mouvement de jeunes pionniers, va participer à la fondation d'un kibboutz dans le Néguev. Malgré leurs différences, elles partagent leurs joies et leurs peines, jusqu'à l'arrivée de Yossef, le rescapé... À travers le destin de deux héroïnes qui s'aiment comme deux sœurs, le roman entraîne le lecteur dans la société juive de Palestine, de la fin des années 1920 à la création de l'État d'Israël. Une période peu décrite jusqu'à présent dans la littérature israélienne.
Vera et Tsilona sont deux fillettes vivant à Tel-Aviv et allant à la même école. Elles se lient d'une amitié tellement forte qu'elles se considèrent comme deux soeurs. Vera a un père artiste qui part souvent à Paris. Tsilona a perdu le sien d'un accident de travail. Toutes deux sont élevées par leur mère. Tsiona demande à rencontrer le père de Vera et souhaite même qu'il devienne son papa. Après l'adolescence, leur chemin se sépare peu après le décès de la maman de Vera. L'une part vivre un temps à Paris avec son papa tandis que l'autre part vivre seule dans un kibboutz, ce à quoi elle a toujours aspiré. Un an plus tard, Vera vient trouver refuge dans le kibboutz où vit Tsiona...son amie à jamais...bien qu'elle vive difficilement dans cette communauté. Des réfugiés juifs arrivent en Palestine dont Yossef, un poète qui va séparer les deux filles. Le roman se situe avant la création de l'état d'Israël. Dans ce premier roman à la langue fluide, aux dialogues vivants et aux personnages attachants, la romancière aborde les difficultés existantes avant 1948 dans cette région du monde mais aussi les questions intimes de l’amitié et de l’amour.